Les propos dégradants à caractère sexuel tenus par un salarié à l’encontre d’un collègue de travail relèvent de la faute grave et sont de nature à rendre impossible son maintien dans l’entreprise, peu important que le salarié ait une longue ancienneté dans l’entreprise sans aucun antécédent disciplinaire.
Cass. Soc., 27 mai 2020, n° 18-21.877