Licenciement pour refus de travailler avec un collègue

Dès lors que, postérieurement à un précédent avertissement, le salarié avait fait valoir son refus de travailler avec son collègue et qu’il l’avait violemment pris à partie à plusieurs reprises, ce comportement, visé dans la lettre de licenciement, rendait impossible le maintien du salarié dans l’entreprise et justifiait son licenciement pour faute grave.

Cass. soc., 6 mars 2019 n° 17-24.605 F-D

Partager :