La Cour de cassation donne raison à la cour d’appel qui a jugé que constitue une faute grave rendant impossible le maintien du salarié dans l’entreprise le refus par ce dernier de tout échange verbal avec sa hiérarchie. Dès lors, sa mise à la retraite d’office est justifiée.
Cass Soc 22 mars 2017, n° 15-27.720